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Sepia stone bridge

A stone bridge in the south of France at the end of afternoon. A stone bridge in the south of France at the end of afternoon

Bridge detail 50

Detail of the bridge millenium. Detail of the bridge millenium

Old Mission Peninsula, North of Traverse City, Michigan in summer

Old Mission Peninsula, North of Traverse City, Michigan in summer

Small suspension Bridge at night

Part of modern, small suspension bridge in Wroclaw (Poland) at night. Part of modern, small suspension bridge in Wroclaw (Poland) at night.

French : Gouache noire sur papier photo, 2003. Contraintes de supports, formats, matériaux, procédés : Lignes parallèles au pinceau (le même pinceau pour toute la série – je l'ai gardé), la souplesse étant dans la quantité d'eau associée à la gouache noire, la vitesse d’exécution pour une ligne (le pinceau ne décollait la feuille qu'après l'avoir traversé de long en large ; le rythme, les saccades, les tremblements donnaient du jeu aux contraintes initiales) et le temps de séchage entre deux lignes parallèles juxtaposées. J'ai ensuite complété ce dispositif en ajoutant des empreintes façon monotype Le paysage, dans sa plus simple expression, est un jeu d'horizontales – comme le portrait est l'expression de la verticalité (le paysage et la ligne courbe seraient plutôt de l'ordre du féminin alors que le masculin serait dans le portrait et la ligne droite) Nous retrouvons le thème des « barreaux », que j'exploiterai vraiment en 2007 parce qu'il était devenu vital que je digère ma mise en examen... Barreaux déjà présents précédemment dans mon travail sur la « feuille » puis dans mes « ballpoint », enfin dans mes vidéos. Ces traits parallèles m'intéressent d'abord pour leur coté archaïque, de la naissance de l'écriture (décompte de bœufs) jusqu'aux graffitis sur les murs des prisons pour marquer le décompte des jours (autant de barreaux barrés en fin de semaine – c'est un aspect sur lequel je me suis penché dans la série des « marques » que j'ai amorcé -comme les « barreaux »- lors de ma mise en examen en 2006). M'intéresse aussi la multiplicité des interprétations possibles et leur réversibilité suivant le sens exposé, la forêt de bouleaux quand le support est exposé à la verticale devient une « marine » à l'horizontale. Ce travail, tout comme les autres, fait la part belle à ma grande névrose qui consiste à vouloir trouver le maximum dans le minimum, mais que je définis aussi comme une recherche de profondeur plutôt que de surface. Une dernière précision : le papier photo donne une brillance argentée du plus bel effet qui n'est pas visible sur l'image scannée. English : Black gouache on photo paper, 2003. Constraints of supports, formats, materials, processes: lines parallel with the brush (the same brush for all the series - I kept it), the flexibility being in the quantity of water associated with the black gouache, the speed of execution for a line (the brush unstuck the sheet only having crossed it up and down; the rhythm, the jerks, the shivers was loosen something up to the initial constraints) and the time of drying between two lines parallel lines juxtaposed. Then I completed this device by adding imprints as "monotype" The landscape, in its simplest expression, is a game of horizontals - as the portrait is the expression of the verticality (the landscape and the curved line would be rather of the order of the feminine while the male would be in the portrait and the straight line) We find the theme of "bars", which I shall really run in 2007 because there had become vital that I digest my indictment... Already present Bars previously in my work on the "sheet" then in my "ballpoint", finally in my videos. These parallel lines interest me at first for their archaic quoted, of the birth of the writing up to graffiti on the walls of prisons to mark the discount of days (so many bars blocked at the end of week - it is an aspect over which I bent in the series of the "marks" that I began - as "bars" - during my indictment in 2006). Also interests me the multiplicity of the possible interpretations and their reversibility following the displayed sense, the forest of birches when the support is upright exposed becomes a "seascape" in the horizontal. This work, quite as the others, gives a good place to my big neurosis which consists in wanting to find the maximum in the minimum, but that I also define as a deep research rather that of surface. A last precision: the photo paper gives a silvery shine of the most beautiful effect which is not visible on the scanned image. (Sorry, it's a « Reverso » translation). French : Gouache noire sur papier photo, 2003. Contraintes de supports, formats, matériaux, procédés : Lignes parallèles au pinceau (le même pinceau pour toute la série – je l'ai gardé), la souplesse étant dans la quantité d'eau associée à la gouache noire, la vitesse d’exécution pour une ligne (le pinceau ne décollait la feuille qu'après l'avoir traversé de long en large ; le rythme, les saccades, les tremblements donnaient du jeu aux contraintes initiales) et le temps de séchage entre deux lignes parallèles juxtaposées. J'ai ensuite complété ce dispositif en ajoutant des empreintes façon monotype Le paysage, dans sa plus simple expression, est un jeu d'horizontales – comme le portrait est l'expression de la verticalité (le paysage et la ligne courbe seraient plutôt de l'ordre du féminin alors que le masculin serait dans le portrait et la ligne droite) Nous retrouvons le thème des « barreaux », que j'exploiterai vraiment en 2007 parce qu'il était devenu vital que je digère ma mise en examen... Barreaux déjà présents précédemment dans mon travail sur la « feuille » puis dans mes « ballpoint », enfin dans mes vidéos. Ces traits parallèles m'intéressent d'abord pour leur coté archaïque, de la naissance de l'écriture (décompte de bœufs) jusqu'aux graffitis sur les murs des prisons pour marquer le décompte des jours (autant de barreaux barrés en fin de semaine – c'est un aspect sur lequel je me suis penché dans la série des « marques » que j'ai amorcé -comme les « barreaux »- lors de ma mise en examen en 2006). M'intéresse aussi la multiplicité des interprétations possibles et leur réversibilité suivant le sens exposé, la forêt de bouleaux quand le support est exposé à la verticale devient une « marine » à l'horizontale. Ce travail, tout comme les autres, fait la part belle à ma grande névrose qui consiste à vouloir trouver le maximum dans le minimum, mais que je définis aussi comme une recherche de profondeur plutôt que de surface. Une dernière précision : le papier photo donne une brillance argentée du plus bel effet qui n'est pas visible sur l'image scannée. English : Black gouache on photo paper, 2003. Constraints of supports, formats, materials, processes: lines parallel with the brush (the same brush for all the series - I kept it), the flexibility being in the quantity of water associated with the black gouache, the speed of execution for a line (the brush unstuck the sheet only having crossed it up and down; the rhythm, the jerks, the shivers was loosen something up to the initial constraints) and the time of drying between two lines parallel lines juxtaposed. Then I completed this device by adding imprints as "monotype" The landscape, in its simplest expression, is a game of horizontals - as the portrait is the expression of the verticality (the landscape and the curved line would be rather of the order of the feminine while the male would be in the portrait and the straight line) We find the theme of "bars", which I shall really run in 2007 because there had become vital that I digest my indictment... Already present Bars previously in my work on the "sheet" then in my "ballpoint", finally in my videos. These parallel lines interest me at first for their archaic quoted, of the birth of the writing up to graffiti on the walls of prisons to mark the discount of days (so many bars blocked at the end of week - it is an aspect over which I bent in the series of the "marks" that I began - as "bars" - during my indictment in 2006). Also interests me the multiplicity of the possible interpretations and their reversibility following the displayed sense, the forest of birches when the support is upright exposed becomes a "seascape" in the horizontal. This work, quite as the others, gives a good place to my big neurosis which consists in wanting to find the maximum in the minimum, but that I also define as a deep research rather that of surface. A last precision: the photo paper gives a silvery shine of the most beautiful effect which is not visible on the scanned image. (Sorry, it's a « Reverso » translation)

Bridge detail 46

Detail of the bridge millenium. Detail of the bridge millenium

Gushichan Bouldering. Gushichan Bouldering

Mung bean and light bulb

Mung bean to insert a light bulb, suggesting that people increase the awareness of environmental conservation. Mung bean to insert a light bulb, suggesting that people increase the awareness of environmental conservation.

Sheep crossing road

Sheep walking across idyllic country road. Sheep walking across idyllic country road

Aerial view of the Omena beach in Michigan, Traverse City

Aerial view of the Omena beach in Michigan, Traverse City

French : Gouache noire sur papier photo, 2003. Contraintes de supports, formats, matériaux, procédés : Lignes parallèles au pinceau (le même pinceau pour toute la série – je l'ai gardé), la souplesse étant dans la quantité d'eau associée à la gouache noire, la vitesse d’exécution pour une ligne (le pinceau ne décollait la feuille qu'après l'avoir traversé de long en large ; le rythme, les saccades, les tremblements donnaient du jeu aux contraintes initiales) et le temps de séchage entre deux lignes parallèles juxtaposées. J'ai ensuite complété ce dispositif en ajoutant des empreintes façon monotype Le paysage, dans sa plus simple expression, est un jeu d'horizontales – comme le portrait est l'expression de la verticalité (le paysage et la ligne courbe seraient plutôt de l'ordre du féminin alors que le masculin serait dans le portrait et la ligne droite) Nous retrouvons le thème des « barreaux », que j'exploiterai vraiment en 2007 parce qu'il était devenu vital que je digère ma mise en examen... Barreaux déjà présents précédemment dans mon travail sur la « feuille » puis dans mes « rollerballs », enfin dans mes vidéos. Ces traits parallèles m'intéressent d'abord pour leur coté archaïque, de la naissance de l'écriture (décompte de bœufs) jusqu'aux graffitis sur les murs des prisons pour marquer le décompte des jours (autant de barreaux barrés en fin de semaine – c'est un aspect sur lequel je me suis penché dans la série des « marques » que j'ai amorcé -comme les « barreaux »- lors de ma mise en examen en 2006). M'intéresse aussi la multiplicité des interprétations possibles et leur réversibilité suivant le sens exposé, la forêt de bouleaux quand le support est exposé à la verticale devient une « marine » à l'horizontale. Ce travail, tout comme les autres, fait la part belle à ma grande névrose qui consiste à vouloir trouver le maximum dans le minimum, mais que je définis aussi comme une recherche de profondeur plutôt que de superficie. Une dernière précision : le papier photo donne une brillance argentée du plus bel effet qui n'est pas visible sur l'image scannée. English : Black gouache on photo paper, 2003. Constraints of supports, formats, materials, processes: lines parallel with the brush (the same brush for all the series - I kept it), the flexibility being in the quantity of water associated with the black gouache, the speed of execution for a line (the brush unstuck the sheet only having crossed it up and down; the rhythm, the jerks, the shivers was loosen something up to the initial constraints) and the time of drying between two lines parallel lines juxtaposed. Then I completed this device by adding imprints as "monotype" The landscape, in its simplest expression, is a game of horizontals - as the portrait is the expression of the verticality (the landscape and the curved line would be rather of the order of the feminine while the male would be in the portrait and the straight line) We find the theme of "bars", which I shall really run in 2007 because there had become vital that I digest my indictment... Already present Bars previously in my work on the "sheet" then in my "rollerballs", finally in my videos. These parallel lines interest me at first for their archaic quoted, of the birth of the writing up to graffiti on the walls of prisons to mark the discount of days (so many bars blocked at the end of week - it is an aspect over which I bent in the series of the "marks" that I began - as "bars" - during my indictment in 2006). Also interests me the multiplicity of the possible interpretations and their reversibility following the displayed sense, the forest of birches when the support is upright exposed becomes a "seascape" in the horizontal. This work, quite as the others, gives a good place to my big neurosis which consists in wanting to find the maximum in the minimum, but that I also define as a deep research rather that of surface. A last precision: the photo paper gives a silvery shine of the most beautiful effect which is not visible on the scanned image. (Sorry, it's a « Reverso » translation). French : Gouache noire sur papier photo, 2003. Contraintes de supports, formats, matériaux, procédés : Lignes parallèles au pinceau (le même pinceau pour toute la série – je l'ai gardé), la souplesse étant dans la quantité d'eau associée à la gouache noire, la vitesse d’exécution pour une ligne (le pinceau ne décollait la feuille qu'après l'avoir traversé de long en large ; le rythme, les saccades, les tremblements donnaient du jeu aux contraintes initiales) et le temps de séchage entre deux lignes parallèles juxtaposées. J'ai ensuite complété ce dispositif en ajoutant des empreintes façon monotype Le paysage, dans sa plus simple expression, est un jeu d'horizontales – comme le portrait est l'expression de la verticalité (le paysage et la ligne courbe seraient plutôt de l'ordre du féminin alors que le masculin serait dans le portrait et la ligne droite) Nous retrouvons le thème des « barreaux », que j'exploiterai vraiment en 2007 parce qu'il était devenu vital que je digère ma mise en examen... Barreaux déjà présents précédemment dans mon travail sur la « feuille » puis dans mes « rollerballs », enfin dans mes vidéos. Ces traits parallèles m'intéressent d'abord pour leur coté archaïque, de la naissance de l'écriture (décompte de bœufs) jusqu'aux graffitis sur les murs des prisons pour marquer le décompte des jours (autant de barreaux barrés en fin de semaine – c'est un aspect sur lequel je me suis penché dans la série des « marques » que j'ai amorcé -comme les « barreaux »- lors de ma mise en examen en 2006). M'intéresse aussi la multiplicité des interprétations possibles et leur réversibilité suivant le sens exposé, la forêt de bouleaux quand le support est exposé à la verticale devient une « marine » à l'horizontale. Ce travail, tout comme les autres, fait la part belle à ma grande névrose qui consiste à vouloir trouver le maximum dans le minimum, mais que je définis aussi comme une recherche de profondeur plutôt que de superficie. Une dernière précision : le papier photo donne une brillance argentée du plus bel effet qui n'est pas visible sur l'image scannée. English : Black gouache on photo paper, 2003. Constraints of supports, formats, materials, processes: lines parallel with the brush (the same brush for all the series - I kept it), the flexibility being in the quantity of water associated with the black gouache, the speed of execution for a line (the brush unstuck the sheet only having crossed it up and down; the rhythm, the jerks, the shivers was loosen something up to the initial constraints) and the time of drying between two lines parallel lines juxtaposed. Then I completed this device by adding imprints as "monotype" The landscape, in its simplest expression, is a game of horizontals - as the portrait is the expression of the verticality (the landscape and the curved line would be rather of the order of the feminine while the male would be in the portrait and the straight line) We find the theme of "bars", which I shall really run in 2007 because there had become vital that I digest my indictment... Already present Bars previously in my work on the "sheet" then in my "rollerballs", finally in my videos. These parallel lines interest me at first for their archaic quoted, of the birth of the writing up to graffiti on the walls of prisons to mark the discount of days (so many bars blocked at the end of week - it is an aspect over which I bent in the series of the "marks" that I began - as "bars" - during my indictment in 2006). Also interests me the multiplicity of the possible interpretations and their reversibility following the displayed sense, the forest of birches when the support is upright exposed becomes a "seascape" in the horizontal. This work, quite as the others, gives a good place to my big neurosis which consists in wanting to find the maximum in the minimum, but that I also define as a deep research rather that of surface. A last precision: the photo paper gives a silvery shine of the most beautiful effect which is not visible on the scanned image. (Sorry, it's a « Reverso » translation)

Bridge detail 35

Detail of the bridge millenium. Detail of the bridge millenium

Military compass on white background

The military compass on white background

Bridge detail 53

Detail of the bridge millenium. Detail of the bridge millenium

Patriot Honor Guard From Traverse City Michigan

Patriot Honor Guard From Traverse City Michigan

Coronado Bay Bridge, San Diego

Coronado Bay Bridge in San Diego seen from south of the bridge. The photo was taken on a clear blue morning. Coronado Bay Bridge in San Diego seen from south of the bridge. The photo was taken on a clear blue morning.

Close-up of an old rusty traverse of a rotten tow truck with two metal eyelets

Close-up of an old rusty traverse of a rotten tow truck with two metal eyelets

The Knife Edge on Lafayette Ridge, Appalachian Trail

A hiker scrambles up a boulder on Lafayette Ridge in the White Mountains of New Hampshire. This knife-edge section of the Appalachian Trail has some of the most scenic views along the popular hiking route. A hiker scrambles up a boulder on Lafayette Ridge in the White Mountains of New Hampshire. This knife-edge section of the Appalachian Trail has some of the most scenic views along the popular hiking route.

Climbers traversing rockwall

Three female climbers are cautiously traversing a rock wall over a large pond. Three female climbers are cautiously traversing a rock wall over a large pond.

Old Mission Peninsula, North of Traverse City, Michigan in summer

Old Mission Peninsula, North of Traverse City, Michigan in summer

Mung bean and light bulb

Mung bean to insert a light bulb, suggesting that people increase the awareness of environmental conservation. Mung bean to insert a light bulb, suggesting that people increase the awareness of environmental conservation.

Flock of elefants are crossing the river

Flock of elefants are crossing the river near Pinnawela

Bridge detail 21

Detail of the bridge millenium. Detail of the bridge millenium

Shore Line at the Grand Traverse Bay at Lake Michigan, Traverse City, Michigan

Shore Line at the Grand Traverse Bay at Lake Michigan, Traverse City, Michigan

Graph, drafting paper regular square lines grid, mesh pattern. Wireframe texture. Bisect, traverse lines background. simple

Graph, drafting paper regular square lines grid, mesh pattern. Wireframe texture. Bisect, traverse lines background. simple

French : Gouache noire sur papier photo, 2003. Contraintes de supports, formats, matériaux, procédés : Lignes parallèles au pinceau (le même pinceau pour toute la série – je l'ai gardé), la souplesse étant dans la quantité d'eau associée à la gouache noire, la vitesse d’exécution pour une ligne (le pinceau ne décollait la feuille qu'après l'avoir traversé de long en large ; le rythme, les saccades, les tremblements donnaient du jeu aux contraintes initiales) et le temps de séchage entre deux lignes parallèles juxtaposées. J'ai ensuite complété ce dispositif en ajoutant des empreintes façon monotype Le paysage, dans sa plus simple expression, est un jeu d'horizontales – comme le portrait est l'expression de la verticalité (le paysage et la ligne courbe seraient plutôt de l'ordre du féminin alors que le masculin serait dans le portrait et la ligne droite) Nous retrouvons le thème des « barreaux », que j'exploiterai vraiment en 2007 parce qu'il était devenu vital que je digère ma mise en examen... Barreaux déjà présents précédemment dans mon travail sur la « feuille » puis dans mes « rollerballs », enfin dans mes vidéos. Ces traits parallèles m'intéressent d'abord pour leur coté archaïque, de la naissance de l'écriture (décompte de bœufs) jusqu'aux graffitis sur les murs des prisons pour marquer le décompte des jours (autant de barreaux barrés en fin de semaine – c'est un aspect sur lequel je me suis penché dans la série des « marques » que j'ai amorcé -comme les « barreaux »- lors de ma mise en examen en 2006). M'intéresse aussi la multiplicité des interprétations possibles et leur réversibilité suivant le sens exposé, la forêt de bouleaux quand le support est exposé à la verticale devient une « marine » à l'horizontale. Ce travail, tout comme les autres, fait la part belle à ma grande névrose qui consiste à vouloir trouver le maximum dans le minimum, mais que je définis aussi comme une recherche de profondeur plutôt que de superficie. Une dernière précision : le papier photo donne une brillance argentée du plus bel effet qui n'est pas visible sur l'image scannée. English : Black gouache on photo paper, 2003. Constraints of supports, formats, materials, processes: lines parallel with the brush (the same brush for all the series - I kept it), the flexibility being in the quantity of water associated with the black gouache, the speed of execution for a line (the brush unstuck the sheet only having crossed it up and down; the rhythm, the jerks, the shivers was loosen something up to the initial constraints) and the time of drying between two lines parallel lines juxtaposed. Then I completed this device by adding imprints as "monotype" The landscape, in its simplest expression, is a game of horizontals - as the portrait is the expression of the verticality (the landscape and the curved line would be rather of the order of the feminine while the male would be in the portrait and the straight line) We find the theme of "bars", which I shall really run in 2007 because there had become vital that I digest my indictment... Already present Bars previously in my work on the "sheet" then in my "rollerballs", finally in my videos. These parallel lines interest me at first for their archaic quoted, of the birth of the writing up to graffiti on the walls of prisons to mark the discount of days (so many bars blocked at the end of week - it is an aspect over which I bent in the series of the "marks" that I began - as "bars" - during my indictment in 2006). Also interests me the multiplicity of the possible interpretations and their reversibility following the displayed sense, the forest of birches when the support is upright exposed becomes a "seascape" in the horizontal. This work, quite as the others, gives a good place to my big neurosis which consists in wanting to find the maximum in the minimum, but that I also define as a deep research rather that of surface. A last precision: the photo paper gives a silvery shine of the most beautiful effect which is not visible on the scanned image. (Sorry, it's a « Reverso » translation). French : Gouache noire sur papier photo, 2003. Contraintes de supports, formats, matériaux, procédés : Lignes parallèles au pinceau (le même pinceau pour toute la série – je l'ai gardé), la souplesse étant dans la quantité d'eau associée à la gouache noire, la vitesse d’exécution pour une ligne (le pinceau ne décollait la feuille qu'après l'avoir traversé de long en large ; le rythme, les saccades, les tremblements donnaient du jeu aux contraintes initiales) et le temps de séchage entre deux lignes parallèles juxtaposées. J'ai ensuite complété ce dispositif en ajoutant des empreintes façon monotype Le paysage, dans sa plus simple expression, est un jeu d'horizontales – comme le portrait est l'expression de la verticalité (le paysage et la ligne courbe seraient plutôt de l'ordre du féminin alors que le masculin serait dans le portrait et la ligne droite) Nous retrouvons le thème des « barreaux », que j'exploiterai vraiment en 2007 parce qu'il était devenu vital que je digère ma mise en examen... Barreaux déjà présents précédemment dans mon travail sur la « feuille » puis dans mes « rollerballs », enfin dans mes vidéos. Ces traits parallèles m'intéressent d'abord pour leur coté archaïque, de la naissance de l'écriture (décompte de bœufs) jusqu'aux graffitis sur les murs des prisons pour marquer le décompte des jours (autant de barreaux barrés en fin de semaine – c'est un aspect sur lequel je me suis penché dans la série des « marques » que j'ai amorcé -comme les « barreaux »- lors de ma mise en examen en 2006). M'intéresse aussi la multiplicité des interprétations possibles et leur réversibilité suivant le sens exposé, la forêt de bouleaux quand le support est exposé à la verticale devient une « marine » à l'horizontale. Ce travail, tout comme les autres, fait la part belle à ma grande névrose qui consiste à vouloir trouver le maximum dans le minimum, mais que je définis aussi comme une recherche de profondeur plutôt que de superficie. Une dernière précision : le papier photo donne une brillance argentée du plus bel effet qui n'est pas visible sur l'image scannée. English : Black gouache on photo paper, 2003. Constraints of supports, formats, materials, processes: lines parallel with the brush (the same brush for all the series - I kept it), the flexibility being in the quantity of water associated with the black gouache, the speed of execution for a line (the brush unstuck the sheet only having crossed it up and down; the rhythm, the jerks, the shivers was loosen something up to the initial constraints) and the time of drying between two lines parallel lines juxtaposed. Then I completed this device by adding imprints as "monotype" The landscape, in its simplest expression, is a game of horizontals - as the portrait is the expression of the verticality (the landscape and the curved line would be rather of the order of the feminine while the male would be in the portrait and the straight line) We find the theme of "bars", which I shall really run in 2007 because there had become vital that I digest my indictment... Already present Bars previously in my work on the "sheet" then in my "rollerballs", finally in my videos. These parallel lines interest me at first for their archaic quoted, of the birth of the writing up to graffiti on the walls of prisons to mark the discount of days (so many bars blocked at the end of week - it is an aspect over which I bent in the series of the "marks" that I began - as "bars" - during my indictment in 2006). Also interests me the multiplicity of the possible interpretations and their reversibility following the displayed sense, the forest of birches when the support is upright exposed becomes a "seascape" in the horizontal. This work, quite as the others, gives a good place to my big neurosis which consists in wanting to find the maximum in the minimum, but that I also define as a deep research rather that of surface. A last precision: the photo paper gives a silvery shine of the most beautiful effect which is not visible on the scanned image. (Sorry, it's a « Reverso » translation)

A depiction of the new frontier of finance as crypto transactions traverse the globe unhindered by traditional borders

A depiction of the new frontier of finance as crypto transactions traverse the globe unhindered by traditional borders

French : Gouache noire sur papier photo, 2003. Contraintes de supports, formats, matériaux, procédés : Lignes parallèles au pinceau (le même pinceau pour toute la série – je l'ai gardé), la souplesse étant dans la quantité d'eau associée à la gouache noire, la vitesse d’exécution pour une ligne (le pinceau ne décollait la feuille qu'après l'avoir traversé de long en large ; le rythme, les saccades, les tremblements donnaient du jeu aux contraintes initiales) et le temps de séchage entre deux lignes parallèles juxtaposées. J'ai ensuite complété ce dispositif en ajoutant des empreintes façon monotype Le paysage, dans sa plus simple expression, est un jeu d'horizontales – comme le portrait est l'expression de la verticalité (le paysage et la ligne courbe seraient plutôt de l'ordre du féminin alors que le masculin serait dans le portrait et la ligne droite) Nous retrouvons le thème des « barreaux », que j'exploiterai vraiment en 2007 parce qu'il était devenu vital que je digère ma mise en examen... Barreaux déjà présents précédemment dans mon travail sur la « feuille » puis dans mes « rollerballs », enfin dans mes vidéos. Ces traits parallèles m'intéressent d'abord pour leur coté archaïque, de la naissance de l'écriture (décompte de bœufs) jusqu'aux graffitis sur les murs des prisons pour marquer le décompte des jours (autant de barreaux barrés en fin de semaine – c'est un aspect sur lequel je me suis penché dans la série des « marques » que j'ai amorcé -comme les « barreaux »- lors de ma mise en examen en 2006). M'intéresse aussi la multiplicité des interprétations possibles et leur réversibilité suivant le sens exposé, la forêt de bouleaux quand le support est exposé à la verticale devient une « marine » à l'horizontale. Ce travail, tout comme les autres, fait la part belle à ma grande névrose qui consiste à vouloir trouver le maximum dans le minimum, mais que je définis aussi comme une recherche de profondeur plutôt que de superficie. Une dernière précision : le papier photo donne une brillance argentée du plus bel effet qui n'est pas visible sur l'image scannée. English : Black gouache on photo paper, 2003. Constraints of supports, formats, materials, processes: lines parallel with the brush (the same brush for all the series - I kept it), the flexibility being in the quantity of water associated with the black gouache, the speed of execution for a line (the brush unstuck the sheet only having crossed it up and down; the rhythm, the jerks, the shivers was loosen something up to the initial constraints) and the time of drying between two lines parallel lines juxtaposed. Then I completed this device by adding imprints as "monotype" The landscape, in its simplest expression, is a game of horizontals - as the portrait is the expression of the verticality (the landscape and the curved line would be rather of the order of the feminine while the male would be in the portrait and the straight line) We find the theme of "bars", which I shall really run in 2007 because there had become vital that I digest my indictment... Already present Bars previously in my work on the "sheet" then in my "rollerballs", finally in my videos. These parallel lines interest me at first for their archaic quoted, of the birth of the writing up to graffiti on the walls of prisons to mark the discount of days (so many bars blocked at the end of week - it is an aspect over which I bent in the series of the "marks" that I began - as "bars" - during my indictment in 2006). Also interests me the multiplicity of the possible interpretations and their reversibility following the displayed sense, the forest of birches when the support is upright exposed becomes a "seascape" in the horizontal. This work, quite as the others, gives a good place to my big neurosis which consists in wanting to find the maximum in the minimum, but that I also define as a deep research rather that of surface. A last precision: the photo paper gives a silvery shine of the most beautiful effect which is not visible on the scanned picture. (Sorry, it's a « Reverso » translation). French : Gouache noire sur papier photo, 2003. Contraintes de supports, formats, matériaux, procédés : Lignes parallèles au pinceau (le même pinceau pour toute la série – je l'ai gardé), la souplesse étant dans la quantité d'eau associée à la gouache noire, la vitesse d’exécution pour une ligne (le pinceau ne décollait la feuille qu'après l'avoir traversé de long en large ; le rythme, les saccades, les tremblements donnaient du jeu aux contraintes initiales) et le temps de séchage entre deux lignes parallèles juxtaposées. J'ai ensuite complété ce dispositif en ajoutant des empreintes façon monotype Le paysage, dans sa plus simple expression, est un jeu d'horizontales – comme le portrait est l'expression de la verticalité (le paysage et la ligne courbe seraient plutôt de l'ordre du féminin alors que le masculin serait dans le portrait et la ligne droite) Nous retrouvons le thème des « barreaux », que j'exploiterai vraiment en 2007 parce qu'il était devenu vital que je digère ma mise en examen... Barreaux déjà présents précédemment dans mon travail sur la « feuille » puis dans mes « rollerballs », enfin dans mes vidéos. Ces traits parallèles m'intéressent d'abord pour leur coté archaïque, de la naissance de l'écriture (décompte de bœufs) jusqu'aux graffitis sur les murs des prisons pour marquer le décompte des jours (autant de barreaux barrés en fin de semaine – c'est un aspect sur lequel je me suis penché dans la série des « marques » que j'ai amorcé -comme les « barreaux »- lors de ma mise en examen en 2006). M'intéresse aussi la multiplicité des interprétations possibles et leur réversibilité suivant le sens exposé, la forêt de bouleaux quand le support est exposé à la verticale devient une « marine » à l'horizontale. Ce travail, tout comme les autres, fait la part belle à ma grande névrose qui consiste à vouloir trouver le maximum dans le minimum, mais que je définis aussi comme une recherche de profondeur plutôt que de superficie. Une dernière précision : le papier photo donne une brillance argentée du plus bel effet qui n'est pas visible sur l'image scannée. English : Black gouache on photo paper, 2003. Constraints of supports, formats, materials, processes: lines parallel with the brush (the same brush for all the series - I kept it), the flexibility being in the quantity of water associated with the black gouache, the speed of execution for a line (the brush unstuck the sheet only having crossed it up and down; the rhythm, the jerks, the shivers was loosen something up to the initial constraints) and the time of drying between two lines parallel lines juxtaposed. Then I completed this device by adding imprints as "monotype" The landscape, in its simplest expression, is a game of horizontals - as the portrait is the expression of the verticality (the landscape and the curved line would be rather of the order of the feminine while the male would be in the portrait and the straight line) We find the theme of "bars", which I shall really run in 2007 because there had become vital that I digest my indictment... Already present Bars previously in my work on the "sheet" then in my "rollerballs", finally in my videos. These parallel lines interest me at first for their archaic quoted, of the birth of the writing up to graffiti on the walls of prisons to mark the discount of days (so many bars blocked at the end of week - it is an aspect over which I bent in the series of the "marks" that I began - as "bars" - during my indictment in 2006). Also interests me the multiplicity of the possible interpretations and their reversibility following the displayed sense, the forest of birches when the support is upright exposed becomes a "seascape" in the horizontal. This work, quite as the others, gives a good place to my big neurosis which consists in wanting to find the maximum in the minimum, but that I also define as a deep research rather that of surface. A last precision: the photo paper gives a silvery shine of the most beautiful effect which is not visible on the scanned picture. (Sorry, it's a « Reverso » translation)

Military compass on white background

The military compass on white background

Flock of elephants in the wilderness

Flock of elephants in the wilderness near Pinnawela

Suspension Bridge Cables

Abstract View of Big White Suspension Bridge Cables at Night

Road sign for Traverse County

Road sign for Traverse County

Flock of elephants in the river

Elephants take a bath in the river in the wilderness near Pinnawela. Elephants take a bath in the river in the wilderness near Pinnawela

Triangular deer crossing warning road sign which warns that deer often traverse or travel here on this road mounted on metal pole

Triangular deer crossing warning road sign which warns that deer often traverse or travel here on this road mounted on metal pole

Suspension Bridge Cables

Abstract View of Big White Suspension Bridge Cables at Night

Old style brass compass on white

Metal, brass compass is a precision in the calculation. Metal, brass compass is a precision in the calculation

Suspension Bridge (1)

Part of modern, suspension bridge in Wroclaw (Poland). Part of modern, suspension bridge in Wroclaw (Poland).

Hugging elefants touching smoothly the partner

Hugging elefants touching smoothly the partner with the trunk

Summer drive on country road in Traverse City, Michigan

Summer drive on country road in Traverse City, Michigan

Suspension Bridge

Part of modern, suspension bridge in Wroclaw (Poland).

Bridge over River

Bridge connecting the banks to cross the river. Bridge connecting the banks to cross the river

Flock of elephants in the wilderness

Flock of elephants in the wilderness near Pinnawela

Skew, diagonal, oblique lines grid, mesh.Cellular, interlace background. Interlock, intersect traverse fractal lines.Dynamic

Skew, diagonal, oblique lines grid, mesh.Cellular, interlace background. Interlock, intersect traverse fractal lines.Dynamic

Lake Mackenzie - Routeburn Track

Lake Mackenzie - Routeburn Track, New Zealand

Sunset long the banks of the Amazon river. The tributaries of the Amazon traverse the countries of Guyana, Ecuador, Peru, Brazil

Sunset long the banks of the Amazon river. The tributaries of the Amazon traverse the countries of Guyana, Ecuador, Peru, Brazil

Ork lancer riding a war boar

Ork lancer with light armor mounts a great wild boar of war. Ork lancer with light armor mounts a great wild boar of war

French : Gouache noire sur papier photo, 2003. Contraintes de supports, formats, matériaux, procédés : Lignes parallèles au pinceau (le même pinceau pour toute la série – je l'ai gardé), la souplesse étant dans la quantité d'eau associée à la gouache noire, la vitesse d’exécution pour une ligne (le pinceau ne décollait la feuille qu'après l'avoir traversé de long en large ; le rythme, les saccades, les tremblements donnaient du jeu aux contraintes initiales) et le temps de séchage entre deux lignes parallèles juxtaposées. J'ai ensuite complété ce dispositif en ajoutant des empreintes façon monotype Le paysage, dans sa plus simple expression, est un jeu d'horizontales – comme le portrait est l'expression de la verticalité (le paysage et la ligne courbe seraient plutôt de l'ordre du féminin alors que le masculin serait dans le portrait et la ligne droite) Nous retrouvons le thème des « barreaux », que j'exploiterai vraiment en 2007 parce qu'il était devenu vital que je digère ma mise en examen... Barreaux déjà présents précédemment dans mon travail sur la « feuille » puis dans mes « rollerballs », enfin dans mes vidéos. Ces traits parallèles m'intéressent d'abord pour leur coté archaïque, de la naissance de l'écriture (décompte de bœufs) jusqu'aux graffitis sur les murs des prisons pour marquer le décompte des jours (autant de barreaux barrés en fin de semaine – c'est un aspect sur lequel je me suis penché dans la série des « marques » que j'ai amorcé -comme les « barreaux »- lors de ma mise en examen en 2006). M'intéresse aussi la multiplicité des interprétations possibles et leur réversibilité suivant le sens exposé, la forêt de bouleaux quand le support est exposé à la verticale devient une « marine » à l'horizontale. Ce travail, tout comme les autres, fait la part belle à ma grande névrose qui consiste à vouloir trouver le maximum dans le minimum, mais que je définis aussi comme une recherche de profondeur plutôt que de superficie. Une dernière précision : le papier photo donne une brillance argentée du plus bel effet qui n'est pas visible sur l'image scannée. English : Black gouache on photo paper, 2003. Constraints of supports, formats, materials, processes: lines parallel with the brush (the same brush for all the series - I kept it), the flexibility being in the quantity of water associated with the black gouache, the speed of execution for a line (the brush unstuck the sheet only having crossed it up and down; the rhythm, the jerks, the shivers was loosen something up to the initial constraints) and the time of drying between two lines parallel lines juxtaposed. Then I completed this device by adding imprints as "monotype" The landscape, in its simplest expression, is a game of horizontals - as the portrait is the expression of the verticality (the landscape and the curved line would be rather of the order of the feminine while the male would be in the portrait and the straight line) We find the theme of "bars", which I shall really run in 2007 because there had become vital that I digest my indictment... Already present Bars previously in my work on the "sheet" then in my "rollerballs", finally in my videos. These parallel lines interest me at first for their archaic quoted, of the birth of the writing up to graffiti on the walls of prisons to mark the discount of days (so many bars blocked at the end of week - it is an aspect over which I bent in the series of the "marks" that I began - as "bars" - during my indictment in 2006). Also interests me the multiplicity of the possible interpretations and their reversibility following the displayed sense, the forest of birches when the support is upright exposed becomes a "seascape" in the horizontal. This work, quite as the others, gives a good place to my big neurosis which consists in wanting to find the maximum in the minimum, but that I also define as a deep research rather that of surface. A last precision: the photo paper gives a silvery shine of the most beautiful effect which is not visible on the scanned image. (Sorry, it's a « Reverso » translation). French : Gouache noire sur papier photo, 2003. Contraintes de supports, formats, matériaux, procédés : Lignes parallèles au pinceau (le même pinceau pour toute la série – je l'ai gardé), la souplesse étant dans la quantité d'eau associée à la gouache noire, la vitesse d’exécution pour une ligne (le pinceau ne décollait la feuille qu'après l'avoir traversé de long en large ; le rythme, les saccades, les tremblements donnaient du jeu aux contraintes initiales) et le temps de séchage entre deux lignes parallèles juxtaposées. J'ai ensuite complété ce dispositif en ajoutant des empreintes façon monotype Le paysage, dans sa plus simple expression, est un jeu d'horizontales – comme le portrait est l'expression de la verticalité (le paysage et la ligne courbe seraient plutôt de l'ordre du féminin alors que le masculin serait dans le portrait et la ligne droite) Nous retrouvons le thème des « barreaux », que j'exploiterai vraiment en 2007 parce qu'il était devenu vital que je digère ma mise en examen... Barreaux déjà présents précédemment dans mon travail sur la « feuille » puis dans mes « rollerballs », enfin dans mes vidéos. Ces traits parallèles m'intéressent d'abord pour leur coté archaïque, de la naissance de l'écriture (décompte de bœufs) jusqu'aux graffitis sur les murs des prisons pour marquer le décompte des jours (autant de barreaux barrés en fin de semaine – c'est un aspect sur lequel je me suis penché dans la série des « marques » que j'ai amorcé -comme les « barreaux »- lors de ma mise en examen en 2006). M'intéresse aussi la multiplicité des interprétations possibles et leur réversibilité suivant le sens exposé, la forêt de bouleaux quand le support est exposé à la verticale devient une « marine » à l'horizontale. Ce travail, tout comme les autres, fait la part belle à ma grande névrose qui consiste à vouloir trouver le maximum dans le minimum, mais que je définis aussi comme une recherche de profondeur plutôt que de superficie. Une dernière précision : le papier photo donne une brillance argentée du plus bel effet qui n'est pas visible sur l'image scannée. English : Black gouache on photo paper, 2003. Constraints of supports, formats, materials, processes: lines parallel with the brush (the same brush for all the series - I kept it), the flexibility being in the quantity of water associated with the black gouache, the speed of execution for a line (the brush unstuck the sheet only having crossed it up and down; the rhythm, the jerks, the shivers was loosen something up to the initial constraints) and the time of drying between two lines parallel lines juxtaposed. Then I completed this device by adding imprints as "monotype" The landscape, in its simplest expression, is a game of horizontals - as the portrait is the expression of the verticality (the landscape and the curved line would be rather of the order of the feminine while the male would be in the portrait and the straight line) We find the theme of "bars", which I shall really run in 2007 because there had become vital that I digest my indictment... Already present Bars previously in my work on the "sheet" then in my "rollerballs", finally in my videos. These parallel lines interest me at first for their archaic quoted, of the birth of the writing up to graffiti on the walls of prisons to mark the discount of days (so many bars blocked at the end of week - it is an aspect over which I bent in the series of the "marks" that I began - as "bars" - during my indictment in 2006). Also interests me the multiplicity of the possible interpretations and their reversibility following the displayed sense, the forest of birches when the support is upright exposed becomes a "seascape" in the horizontal. This work, quite as the others, gives a good place to my big neurosis which consists in wanting to find the maximum in the minimum, but that I also define as a deep research rather that of surface. A last precision: the photo paper gives a silvery shine of the most beautiful effect which is not visible on the scanned image. (Sorry, it's a « Reverso » translation)

Suspension Bridge Cables

Abstract View of Big White Suspension Bridge Cables at Night

French : Gouache noire sur papier photo, 2003. Contraintes de supports, formats, matériaux, procédés : Lignes parallèles au pinceau (le même pinceau pour toute la série – je l'ai gardé), la souplesse étant dans la quantité d'eau associée à la gouache noire, la vitesse d’exécution pour une ligne (le pinceau ne décollait la feuille qu'après l'avoir traversé de long en large ; le rythme, les saccades, les tremblements donnaient du jeu aux contraintes initiales) et le temps de séchage entre deux lignes parallèles juxtaposées. J'ai ensuite complété ce dispositif en ajoutant des empreintes façon monotype Le paysage, dans sa plus simple expression, est un jeu d'horizontales – comme le portrait est l'expression de la verticalité (le paysage et la ligne courbe seraient plutôt de l'ordre du féminin alors que le masculin serait dans le portrait et la ligne droite) Nous retrouvons le thème des « barreaux », que j'exploiterai vraiment en 2007 parce qu'il était devenu vital que je digère ma mise en examen... Barreaux déjà présents précédemment dans mon travail sur la « feuille » puis dans mes « rollerballs », enfin dans mes vidéos. Ces traits parallèles m'intéressent d'abord pour leur coté archaïque, de la naissance de l'écriture (décompte de bœufs) jusqu'aux graffitis sur les murs des prisons pour marquer le décompte des jours (autant de barreaux barrés en fin de semaine – c'est un aspect sur lequel je me suis penché dans la série des « marques » que j'ai amorcé -comme les « barreaux »- lors de ma mise en examen en 2006). M'intéresse aussi la multiplicité des interprétations possibles et leur réversibilité suivant le sens exposé, la forêt de bouleaux quand le support est exposé à la verticale devient une « marine » à l'horizontale. Ce travail, tout comme les autres, fait la part belle à ma grande névrose qui consiste à vouloir trouver le maximum dans le minimum, mais que je définis aussi comme une recherche de profondeur plutôt que de superficie. Une dernière précision : le papier photo donne une brillance argentée du plus bel effet qui n'est pas visible sur l'image scannée. English : Black gouache on photo paper, 2003. Constraints of supports, formats, materials, processes: lines parallel with the brush (the same brush for all the series - I kept it), the flexibility being in the quantity of water associated with the black gouache, the speed of execution for a line (the brush unstuck the sheet only having crossed it up and down; the rhythm, the jerks, the shivers was loosen something up to the initial constraints) and the time of drying between two lines parallel lines juxtaposed. Then I completed this device by adding imprints as "monotype" The landscape, in its simplest expression, is a game of horizontals - as the portrait is the expression of the verticality (the landscape and the curved line would be rather of the order of the feminine while the male would be in the portrait and the straight line) We find the theme of "bars", which I shall really run in 2007 because there had become vital that I digest my indictment... Already present Bars previously in my work on the "sheet" then in my "rollerballs", finally in my videos. These parallel lines interest me at first for their archaic quoted, of the birth of the writing up to graffiti on the walls of prisons to mark the discount of days (so many bars blocked at the end of week - it is an aspect over which I bent in the series of the "marks" that I began - as "bars" - during my indictment in 2006). Also interests me the multiplicity of the possible interpretations and their reversibility following the displayed sense, the forest of birches when the support is upright exposed becomes a "seascape" in the horizontal. This work, quite as the others, gives a good place to my big neurosis which consists in wanting to find the maximum in the minimum, but that I also define as a deep research rather that of surface. A last precision: the photo paper gives a silvery shine of the most beautiful effect which is not visible on the scanned image. (Sorry, it's a « Reverso » translation) L'album trace. French : Gouache noire sur papier photo, 2003. Contraintes de supports, formats, matériaux, procédés : Lignes parallèles au pinceau (le même pinceau pour toute la série – je l'ai gardé), la souplesse étant dans la quantité d'eau associée à la gouache noire, la vitesse d’exécution pour une ligne (le pinceau ne décollait la feuille qu'après l'avoir traversé de long en large ; le rythme, les saccades, les tremblements donnaient du jeu aux contraintes initiales) et le temps de séchage entre deux lignes parallèles juxtaposées. J'ai ensuite complété ce dispositif en ajoutant des empreintes façon monotype Le paysage, dans sa plus simple expression, est un jeu d'horizontales – comme le portrait est l'expression de la verticalité (le paysage et la ligne courbe seraient plutôt de l'ordre du féminin alors que le masculin serait dans le portrait et la ligne droite) Nous retrouvons le thème des « barreaux », que j'exploiterai vraiment en 2007 parce qu'il était devenu vital que je digère ma mise en examen... Barreaux déjà présents précédemment dans mon travail sur la « feuille » puis dans mes « rollerballs », enfin dans mes vidéos. Ces traits parallèles m'intéressent d'abord pour leur coté archaïque, de la naissance de l'écriture (décompte de bœufs) jusqu'aux graffitis sur les murs des prisons pour marquer le décompte des jours (autant de barreaux barrés en fin de semaine – c'est un aspect sur lequel je me suis penché dans la série des « marques » que j'ai amorcé -comme les « barreaux »- lors de ma mise en examen en 2006). M'intéresse aussi la multiplicité des interprétations possibles et leur réversibilité suivant le sens exposé, la forêt de bouleaux quand le support est exposé à la verticale devient une « marine » à l'horizontale. Ce travail, tout comme les autres, fait la part belle à ma grande névrose qui consiste à vouloir trouver le maximum dans le minimum, mais que je définis aussi comme une recherche de profondeur plutôt que de superficie. Une dernière précision : le papier photo donne une brillance argentée du plus bel effet qui n'est pas visible sur l'image scannée. English : Black gouache on photo paper, 2003. Constraints of supports, formats, materials, processes: lines parallel with the brush (the same brush for all the series - I kept it), the flexibility being in the quantity of water associated with the black gouache, the speed of execution for a line (the brush unstuck the sheet only having crossed it up and down; the rhythm, the jerks, the shivers was loosen something up to the initial constraints) and the time of drying between two lines parallel lines juxtaposed. Then I completed this device by adding imprints as "monotype" The landscape, in its simplest expression, is a game of horizontals - as the portrait is the expression of the verticality (the landscape and the curved line would be rather of the order of the feminine while the male would be in the portrait and the straight line) We find the theme of "bars", which I shall really run in 2007 because there had become vital that I digest my indictment... Already present Bars previously in my work on the "sheet" then in my "rollerballs", finally in my videos. These parallel lines interest me at first for their archaic quoted, of the birth of the writing up to graffiti on the walls of prisons to mark the discount of days (so many bars blocked at the end of week - it is an aspect over which I bent in the series of the "marks" that I began - as "bars" - during my indictment in 2006). Also interests me the multiplicity of the possible interpretations and their reversibility following the displayed sense, the forest of birches when the support is upright exposed becomes a "seascape" in the horizontal. This work, quite as the others, gives a good place to my big neurosis which consists in wanting to find the maximum in the minimum, but that I also define as a deep research rather that of surface. A last precision: the photo paper gives a silvery shine of the most beautiful effect which is not visible on the scanned image. (Sorry, it's a « Reverso » translation) L'album trace

Paddler on Boardman River in Traverse City at The Grand Traverse Bay, Michigan

Paddler on Boardman River in Traverse City at The Grand Traverse Bay, Michigan

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